la cabane est tombée sur le chien
Cescompagnons nous quittent et nous quittons à notre tour la cabane. Une descente amusante dans la neige, puis aux cabanes de Courbet, les raquettes réintègrent les sacs à dos, nous reprenons le sentier, retraversons le guet et arrivons aux voitures vers 16h. Inutile de relater la halte à Bagnères, le récit serait trop répétitif
RestaurantLa Cabane à Cactus Le Barcarès, Le Barcares : consultez 280 avis sur Restaurant La Cabane à Cactus Le Barcarès, noté 4.5 sur 5 sur Tripadvisor et classé #9 sur 75 restaurants à Le Barcares.
Uncouple est accusé d'avoir mutilé et brûlé vif leur chien qui a dû être euthanasié à cause de ses blessures. La SPA d'Hirson a partagé sur Facebook un terrible post le 29 novembre
Bivouaqueren Europe avec son chien. Tu peux bivouaquer librement avec ton chien en Suède, en Finlande et en Norvège, puisqu’il existe le « droit à la nature » (détail dans les articles dévolu à ces pays). En France, le bivouac est toléré plus ou moins selon les mêmes principes qu’en Suisse. Il est cependant interdit :
Unrâtelier est aussi utile pour ranger à la verticale les grands outils de jardinage ou les balais afin d’éviter que ces derniers ne tombent les uns sur les autres tels des dominos. Afin de gagner de la place au sol, les crochets, les patères ou les grilles verticales peuvent aussi servir à accrocher différents outils, mais aussi des paniers, un vélo ou le tablier de jardin.
Les Sites De Rencontres Au Senegal. La frustration sublime … En pays d'Ovalie, on se plaît à manier la langue et les paradoxes, les coups de gueule et les coups de cœur, les comportements absurdes et les envolées lyriques. Rien n'échappe au verbe ovale et tout se prête à ses débordements généreux ou affligeants selon que l'on goûte ou non l'étrange confrérie de Rugby. Des expressions furent ainsi mises en avant par ces gens à l'accent chantonnant et à la langue métaphorique. Parmi celles-ci, comment ne pas évoquer la merveilleuse formule La cabane est tombée sur le chien, … et le chien est mort ! ». Elle relève du folklore d'un sport qui risque fort, en ce dimanche d'octobre de s'appliquer à lui-même cette belle devise. D'autant plus que, comme vous devez aisément l'imaginer, un coq qui se prend parfois pour un dindon a eu l'idée saugrenue de monter sur la sus-dite niche à chien pour chanter à la face du monde sa prétention extrême. Le dindon de la farce, parlons-en par la même occasion. Il est bon de tout mêler et il me semble de la première importance de vous toucher deux mots du drame qui sourd en mon petit club amateur. Je sais emprunter des chemins obscurs pour développer une pensée bien noire, c'est que la couleur est de circonstance et que la cabane, à défaut du ciel, nous tombe sur la tête bien avant que pareille mésaventure ne survienne au quinze de France ! Le canidé qui se prend pour un volatile si peu ailé, c'est le rugby amateur, dans le seul comité territorial de la région Centre. Des gens, d'une rare sagacité ou d'un profond mépris ont décrété que le jour de la Finale, les sportifs sous leur autorité indéboulonnable, allaient préférer le pré au canapé. Nous leur sommes reconnaissants de penser ainsi à nos santés souvent en danger dès qu'il est question de sport à la télévision ; l'abus de bières et de pizzas étant pour le moins détestable. Ainsi, à l'heure où la France entière profitera du triste spectacle de la probable déculottée magistrale, de notre équipe nationale, nous resterons à l'écart de chagrins éternels pour monter sereins et préservés dans un car. Nous échapperons au spectacle de la honte probable à moins que nous soyons privés, tous les espoirs sont permis, au renouveau soudain et magnifique d'une équipe capable du pire et en de rares occasions du sublime. Le pire, il nous est réservé. Punis de jouer au Rugby dans un comité qui navigue à vue sans regarder le calendrier international, nous allons nous nicher, dès dix heures, dans la cabine d'un car en nous déclarant à nous même La cabine est tombée sur les chiens galeux du sport amateur ! ». Rassurez-vous, nous garderons éternellement un chien de notre chienne à ces maudits décideurs régionaux qui nous ont privés de ce moment de communion nationale. Nulle récrimination ne parvient à leur porte, nul arrangement n'est possible. Gouverner c'est prévoir, ils comprendront bien vite qu'ils n'avaient pas prévu le pire ! Je vais hurler à la mort, vieux chien enchaîné dans sa niche miteuse. Je veux gueuler ma colère et mordre ces affreux bonshommes qui nous excluent de la célébration télévisuelle. Ils vont voir tomber sur leurs têtes toutes les plaintes de ce petit peuple en short sans lequel ils ne seraient rien. Ils vont recevoir le coup de pied de l'âne. Les mouches vont bourdonner à leurs oreilles et nous allons allumer le contre-feu de la révolte. Puisque nous n'avons pas les moyens de nous faire entendre, nous allons faire grand vacarme pour affirmer notre désappointement et mettre un poing » final et général sur cette affaire, comme parfois on sait le faire au Rugby. Dimanche, si rien n'est décidé d'ici-là, nous serons privés de l'évènement le plus important de notre sport qui n'a lieu que tous les quatre ans. Les responsables de ce crime de lèse-amateur seront châtiés, foi de combattant valeureux. Le chien n'est pas mort, il se relèvera enragé ! Aboiement leur. Vidéo Tex Avery - Droopy - Senor Droopy par thenelaware
T'as une gueule à faire de la radio et une voix à faire de la presse écrite », le charriait Jean-Marc L'hénoret, réalisateur fou de rugby. Pierre Salviac est arrivé à la télévision sur le service public en 1976, recruté par Robert Chapatte pour tenter de gérer une bande de types ingérables » prenant le studio de Stade 2 pour le café des sports Roger Couderc, Thierry Roland, Richard Diot, Bernard Père... Face à ces monstres sacrés, il a vite rendu son tablier d'adjoint pour se consacrer au grand reportage, puis aux commentaires de rugby de 1983 à 2005, succédant à l'icône Couderc. Aboyeur » Pierre Fulla, Fouquier-Tinville » Gérard Holtz, Pierre Salviac a, aux côtés du grand Pierre Albaladejo, marqué les dernières heures du rugby amateur avec ses formules animalières le cochon est dans le maïs ».... Il restera la voix des trublions du Racing, de l'essai du bout du monde » à Auckland 1994 ou de la victoire de Brive en coupe d'Europe à l'Arms Park de Cardiff 1997. Pour Le Point, le journaliste se souvient des années Chapatte et, pessimiste, craint que la cabane ne tombe bientôt sur le chien en matière de sport sur le service public... Lire aussi Télévision les dieux du Stade 2 » Le Point Vous avez été recruté en 1976 par Robert Chapatte comme adjoint chargé de mettre un peu d'ordre dans le service des sports. Comment était l'ambiance ? Pierre Salviac Chapatte m'avait recruté parce qu'il avait lu des articles que je signais dans France Soir et Le Point. Et lui qui était un produit de l'audiovisuel, il était impressionné par les journalistes de la presse écrite. Il m'avait recruté pour succéder à Couderc, dont la retraite était programmée sept ans plus tard. C'est Jean-Pierre Elkabbach, alors directeur de l'information d'Antenne 2, qui m'avait imposé comme adjoint de Chapatte pour mettre au service du journal télévisé la compétence des stars du service des sports. Je me suis vite rendu compte que c'était un cadeau empoisonné et que je n'arriverai pas à mettre sur le tableau de service des Roland, Leulliot, Marquet, Choupin auquel je demandais de poser leur voix sur un résumé d'une minute de sport dans le JT alors que leur habitude était de commenter des directs d'au moins une heure et demie. Quand j'ai compris que j'allais me battre contre des moulins à vent et que j'étais trop jeune pour me fâcher avec des confrères que je badais du temps de la télé en noir et blanc, j'ai rendu mon tablier de rédacteur en chef du service des sports pour les travaux forcés » du JT et je suis rentré dans le rang pour reprendre mon statut de grand reporter à Stade 2 pour lequel j'avais été recruté. Vous racontez que dans les années 1980, le tandem Pierre Desgraupes-Joseph Pasteur trouvait Stade 2 trop beauf », alors que c'était l'émission la plus populaire de la chaîne... C'est vrai que le tandem Pierre Desgraupes-Joseph Pasteur n'avait pas d'estime pour l'équipe de Stade 2 qui était pourtant très populaire. Ils reprochaient à Chapatte de laisser l'émission dériver vers une ambiance franchouillarde. Ils se laissaient influencer par des producteurs-animateurs qui avaient tout intérêt à tuer cette émission si populaire pour s'approprier la tranche horaire. Ils n'ont pas réussi à nous tuer parce que les audiences étaient bonnes. Votre meilleur souvenir de Stade 2 ? Chaque émission est un bon souvenir. Quand on se trouvait à la table de Stade 2 entouré de personnages comme Chapatte, Couderc, Roland, Janin et Cazal par exemple pour la génération d'après, c'était troisième mi-temps tous les dimanches soir. Nous n'étions que des passeurs de bonne humeur. Nous transmettions notre amour du sport avec passion. Le public était attaché à notre façon de raconter l'actualité sportive. On a souvent présenté Canal+ comme ayant révolutionné le sport à la télévision française, en opposition à un service public jugé franchouillard, alors que c'est vous qui avez par exemple introduit les statistiques dans les commentaires. N'avez-vous pas de rancœur par rapport à ça ? J'ai un profond respect professionnel pour Charles Bietry qui a fait bouger les lignes en ce qui concerne le journalisme sportif à la télé. Avec la complicité du journal L'Équipe, il a fait croire que Canal+ inventait tout. Mais le service des sports de France Télévisions n'a jamais été en reste s'agissant des innovations. Le problème, c'est que la télévision française savait faire et Canal+ savait faire savoir. La grosse différence, c'est qu'Antenne 2 cultivait l'esprit troisième mi-temps hérité des allez, les petits » de Roger Couderc parce qu'elle s'adressait à un public généraliste et que Canal+ optait pour plus de rigueur parce que cette chaîne s'adressait à un public d'abonnés connaisseurs du sport. Vous n'êtes pas tendre avec la nouvelle génération de journalistes sportifs. La nouvelle vague est plus préoccupée de prendre que d'apprendre » dites-vous... Je n'ai jamais été tendre avec des prétendus journalistes qui n'avaient comme obsession que de montrer leur gueule de faux emploi » à la télé, mais qui n'en avaient rien à foutre du respect des fondamentaux du métier. Et j'en ai connu beaucoup trop pendant ma carrière. À tel point que je me suis souvent dit Je ne suis peut-être pas fait pour ce métier, en tout cas certainement pas pour ce milieu », que j'ai quitté sans nostalgie. Pourquoi être si dur envers Nelson Montfort, qualifié d' imposture » dans vos Mémoires, Merci pour ces moments Talent Sport ? C'est vrai que dans mes Mémoires, je cite Nelson Montfort comme exemple à ne pas suivre. Quand j'étais à la direction des sports, je lui imposais de faire des reportages parce que les traductions occasionnelles ne justifiaient pas un CDI de journaliste. Je n'arrivais pas à en programmer un à l'antenne tellement c'était mauvais. Il n'avait qu'une obsession se servir de toutes les expositions que lui offraient toutes les émissions de télé qu'il courtisait pour ne faire que des apparitions fugitives au service des sports qui le nourrissait. Ce qui m'agace dans son cas, c'est qu'il passe pour un mec gentil auprès des téléspectateurs, ce qui n'est pas évident à mon avis. Ne regrettez-vous pas le fou rire du match Écosse-Japon en 2003 avec Thierry Lacroix ? L'histoire du fou rire lors de Écosse-Japon vient du fait qu'étant voisin des commentateurs japonais qui nous avaient demandé Lacroix et moi de prononcer le nom des joueurs français, dans le même souci de rigueur journalistique, j'avais demandé à mes confrères japonais comment prononcer le nom des sélectionnés de leur pays. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que, dès la première minute du direct Thierry Lacroix éclaterait de rire en m'entendant prononcer le nom des joueurs à la japonaise. Ce rire a entraîné le mien. J'ai eu le tort d'insister, ce qui a provoqué un fou rire et donné l'impression aux Japonais de France qu'on se foutait de leur gueule. Y a-t-il une aseptisation du commentaire sportif ? C'est curieux, mais quand j'ai importé le commentaire à l'anglaise sur la base du descriptif-statistique-anecdotique » pour faire une rupture avec le style Couderc que je ne voulais pas copier, j'ai pris une volée de critiques de la part d'une presse et d'une audience qui n'étaient pas habituées à ce style. Il me semble que depuis l'avènement des chaînes dédiées au sport, c'est cette tendance qui a fini par l'emporter. Suis-je fier de cela ? Pas tant que cela parce qu'en même temps, je ne sens pas trop de passion dans les commentaires. En tout cas, c'est ce que je ressens souvent maintenant que je suis téléspectateur. Aujourd'hui, serait-il encore possible à l'antenne d'inventer des sports comme le bar-a-rou » ou de baptiser un soigneur roumain Constantin Tépasdansl'coup », comme vous l'aviez fait avec votre complice Daniel Cazal ? Ces expressions sont nées de l'envie d'amuser les téléspectateurs qui regardent le sport à la télé. Elles relèvent de la même logique que la cabane est tombée sur le chien », le cochon est dans le maïs », la bourrique a tourné le cul au foin », ce n'est pas la queue qui remue le chien ». Il faut croire que ça plaisait puisque les téléspectateurs complices alimentaient notre bestiaire en nous envoyant des expressions de chez eux. Aujourd'hui, il me semble que la tendance est plutôt aux jeux de mots. Resteront-ils dans la mémoire aussi longtemps que allez, les petits » ? Je n'en suis pas convaincu. Le sport a-t-il encore un avenir sur le service public ? Quand la télé privée n'avait qu'une chaîne de diffusion, certains sports ne pouvaient trouver leur place que sur le réseau des chaînes publiques. C'est le cas des sports comme le tennis ou le cyclisme qui n'étaient pas rentables. Pour le service des programmes d'une chaîne privée, ce n'était pas gérable compte tenu de la longueur incertaine des événements télévisés de ces sports-là qui surfaient sur le binôme France 2-France 3. Mais maintenant les chaînes privées ont des petites sœurs qui peuvent diffuser ce que la chaîne premium ne peut pas absorber. Pendant ce temps, France Télévisions vient de supprimer France 4, qui était un refuge pour diffuser les événements sportifs de moindre importance. Dans ces conditions, je ne vois pas beaucoup d'avenir pour le sport gratuit sur le service public. Lire aussi Nelson Monfort La liberté de ton est menacée par la tyrannie des réseaux sociaux »
La Cabane Est Tombée Sur Le ChienAh le maudit samedi, enterrement du quinze de FranceAstérix était vêtu de noir catapultant les centurions gauloisSacrée gueule de bois pour nous ce Dimanche,Cardiff rime avec Waterloo nos joueurs aux laissez moi sortir du livre de mes souvenirsLes fantômes d’autrefois qui nous faisaient sourire,Reviennent sur le gazon tous ces forts garçonsQui chantaient l’Ovalie, guerriers et frères Spanghero ouvrent le défilé,Arrivent derrière eux les piliers de Béziers,Aguirre et Blanco arrières lumineuxSuivent les costauds tous grand Joinel accompagne Rodriguez,La montagne Benazzi chante la Marseillaise,Dintrans sonne la charge des avantsPaparemborde est toujours et Berbizier dirigent la manoeuvre,Cordorniou petit génie sème sa folie,Lagisquet, N’tamak, Estève filent vers la ligneL’essai pour tous est dans leurs retrouve ton génie,Laissez ceux qui parlent de combat,D’être méchants ; de faire mal,Retrouvez du Rugby le génie,Le plaisir du jeu, la joie des De L'ÉcritSyllabes Hyphénique La Cabane Est Tombée Sur Le Chienah=le=mau=dit=same=di=en=ter=re=ment=du=quin=ze=de=france 15as=té=rix=é=tait=vê=tu=de=noir=ca=ta=pul=tant=les=cen=tu=rions=gau=lois 19sa=crée=gueu=le=de=bois=pour=nous=ce=di=man=che 12car=diff=rimea=vec=wa=ter=loo=nos=joueurs=aux=a=bois 12a=lors=lais=sez=moi=sor=tir=du=livre=de=mes=sou=ve=nirs 14les=fan=tômes=dau=tre=fois=qui=nous=fai=saient=sou=rire 12re=vien=nent=sur=le=ga=zon=tous=ces=forts=gar=çons 12qui=chan=taient=lo=va=lie=guer=riers=et=com=pa=gnons 12les=frères=s=pan=ghe=ro=ou=vrent=le=dé=fi=lé 12ar=rivent=der=riè=re=eux=les=pi=liers=de=bé=ziers 12aguir=re=et=blan=co=ar=ri=è=res=lu=mi=neux 12sui=vent=les=cos=tauds=tous=vi=gou=reux 9le=grand=joi=nel=ac=com=pa=gne=ro=dri=guez 11la=mon=ta=gne=be=naz=zi=chan=te=la=mar=seillaise 12din=trans=son=ne=la=char=ge=des=a=vants 10pa=pa=rem=bor=de=est=tou=jours=vaillant 9gal=lion=et=ber=bi=zier=di=ri=gent=la=ma=noeuvre 12cor=dor=niou=pe=tit=gé=nie=sè=me=sa=fo=lie 12la=gis=quet=n=ta=mak=es=tève=fi=lent=vers=la=ligne 13les=sai=pour=tous=est=dans=leurs=cœurs 8ova=lie=re=trou=ve=ton=gé=nie 8lais=sez=ceux=qui=par=lent=de=com=bat 9dê=tre=mé=chants=de=fai=re=mal 8re=trou=vez=du=rug=by=le=gé=nie 9le=plai=sir=du=jeu=la=joie=des=en=fants 10Phonétique La Cabane Est Tombée Sur Le Chiena lə modi samədi, ɑ̃tεʁəmɑ̃ dy kɛ̃zə də fʁɑ̃səasteʁi etε vεty də nwaʁ katapyltɑ̃ lε sɑ̃tyʁjɔ̃ ɡolwasakʁe ɡələ də bwa puʁ nu sə dimɑ̃ʃə,kaʁdif ʁimə avεk watεʁlu no ʒuœʁz- oz- lεse mwa sɔʁtiʁ dy livʁə də mε suvəniʁlε fɑ̃tomə dotʁəfwa ki nu fəzε suʁiʁə,ʁəvjεne syʁ lə ɡazɔ̃ tus sε fɔʁ ɡaʁsɔ̃ki ʃɑ̃tε lɔvali, ɡeʁjez- e fʁεʁə spɑ̃ɡəʁo uvʁe lə defile,aʁive dəʁjεʁə ø lε pilje də bezje,aɡiʁə e blɑ̃ko aʁjεʁə lyminøsɥive lε kɔsto tus ɡʁɑ̃ ʒwanεl akɔ̃paɲə ʁɔdʁiɡe,la mɔ̃taɲə bənazi ʃɑ̃tə la maʁsεjεzə,dɛ̃tʁɑ̃ sɔnə la ʃaʁʒə dεz- avɑ̃papaʁɑ̃bɔʁdə ε tuʒuʁ e bεʁbizje diʁiʒe la manœvʁə,kɔʁdɔʁnju pəti ʒeni sεmə sa fɔli,laʒiskε, ntamak, εstεvə file vεʁ la liɲəlesε puʁ tusz- ε dɑ̃ lœʁ ʁətʁuvə tɔ̃ ʒeni,lεse sø ki paʁle də kɔ̃ba,dεtʁə meʃɑ̃, də fεʁə mal,ʁətʁuve dy ʁyɡbi lə ʒeni,lə plεziʁ dy ʒø, la ʒwa dεz- Phonétique La Cabane Est Tombée Sur Le Chienalə=mo=di=sa=mə=di=ɑ̃=tε=ʁə=mɑ̃=dy=kɛ̃=zə=də=fʁɑ̃sə 15as=te=ʁi=e=tε=vε=tydə=nwaʁ=ka=ta=pyl=tɑ̃=lε=sɑ̃=ty=ʁjɔ̃=ɡo=lwa 18sa=kʁe=ɡə=lə=də=bwa=puʁ=nu=sə=di=mɑ̃=ʃə 12kaʁ=dif=ʁiməa=vεk=wa=tεʁ=lu=no=ʒu=œʁ=zo=za=bwa 13a=lɔʁ=lεse=mwa=sɔʁ=tiʁ=dy=li=vʁə=də=mε=su=və=niʁ 14lε=fɑ̃=tomə=do=tʁə=fwa=ki=nu=fə=zε=su=ʁiʁə 12ʁə=vjε=ne=syʁ=lə=ɡa=zɔ̃=tus=sε=fɔʁ=ɡaʁ=sɔ̃ 12ki=ʃɑ̃=tε=lɔ=va=li=ɡe=ʁje=ze=kɔ̃=pa=ɲɔ̃ 12lε=fʁε=ʁə=spɑ̃=ɡə=ʁo=u=vʁe=lə=de=fi=le 12a=ʁi=ve=də=ʁjεʁə=ø=lε=pi=lje=də=be=zje 12a=ɡi=ʁə=e=blɑ̃=ko=a=ʁjε=ʁə=ly=mi=nø 12sɥi=ve=lε=kɔs=to=tus=vi=ɡu=ʁø 9lə=ɡʁɑ̃=ʒwa=nεl=a=kɔ̃=pa=ɲə=ʁɔ=dʁi=ɡe 11la=mɔ̃=taɲə=bə=na=zi=ʃɑ̃=tə=la=maʁ=sε=jεzə 12dɛ̃=tʁɑ̃=sɔ=nə=la=ʃaʁ=ʒə=dε=za=vɑ̃ 10pa=pa=ʁɑ̃=bɔʁ=də=ε=tu=ʒuʁ=va=j=ɑ̃ 11ɡa=ljɔ̃=e=bεʁ=bi=zje=di=ʁi=ʒe=la=ma=nœ=vʁə 13kɔʁ=dɔʁ=nju=pə=ti=ʒe=ni=sε=mə=sa=fɔ=li 12la=ʒis=kε=nta=mak=εs=tεvə=fi=le=vεʁ=la=liɲə 12le=sε=puʁ=tus=zε=dɑ̃=lœ=ʁə=kœʁ 9ɔ=va=li=ʁə=tʁu=və=tɔ̃=ʒe=ni 9lε=se=sø=ki=paʁ=le=də=kɔ̃=ba 9dε=tʁə=me=ʃɑ̃=də=fε=ʁə=mal 8ʁə=tʁu=ve=dy=ʁyɡ=bi=lə=ʒe=ni 9lə=plε=ziʁ=dy=ʒø=la=ʒwa=dε=zɑ̃=fɑ̃ 10 Commentaire Sur La Poesie18/10/2015 1633Claude408Tes souvenirs fleurent bon avec les fantômes qui chantaient l’Ovalie .Vive. le Sud Ouest le pays du Rugby Poème SportPublié le 18/10/2015 0918 L'écrit contient 167 mots qui sont répartis dans 6 strophes. Poete Coburitc Récompense
Accueil Hauts-de-France Villeneuve - Seclin La greffe » du rugby dans le Nord a subi un méchant plaquage à retardement avec le dépôt de bilan du Lille métropole rugby, il y a deux ans. Rugby store, la marque qui avait parié sur un essor de l’ovalie dans la métropole a finalement suivi le même triste chemin, à la fin de l’année dernière. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 23h16 LOSC Direct Ajaccio – Lille le LOSC s’impose en Corse et se relance 22h59 LOSC Mercato LOSC Ludovic Blas devrait finalement prolonger avec Nantes 22h17 Hauts-de-France Pollution dans la Manche Xavier Bertrand dénonce le comportement britannique et craint une catastrophe écologique» 21h40 France Syrie des avocats de détenus français gravement malades» demandent leur rapatriement en urgence 20h38 France École certaines fournitures scolaires pourraient être gratuites à la rentrée 2023 Toute l'info en continu >
Notice Trying to access array offset on value of type null in /home/kaiakofrkz/captendance/include/ on line 242 Sport • Publié le 25/02/2014 Dans notre chronique précédente Azzuri al dente, nous écrivions que la France devrait hisser son niveau de jeu si elle voulait s'imposer à Cardiff. Hélas, trois fois hélas, c'est le contraire qui s'est produit. Dépassé dès l'entame de match par la furia galloise, le XV de France a encaissé 11-0 en dix minutes, et a semblé ne jamais s'en remettre. Une conquête approximative, des lancements de jeu poussifs, une absence d'ambition et d'inspiration - il y avait de quoi désespérer le plus fidèle des supporters. D'où le choix d'une des nombreuses expressions imagées de Pierre Albaladejo, "La cabane est tombée sur le chien", comme titre de cette chronique. Les plus jeunes de nos lecteurs n'ont sans doute pas eu le plaisir d'écouter des matches de rugby commentés par "Bala", ouvreur talentueux de Dax et de l'équipe de France dans les années 60, reconverti en commentateur télévision à l'époque de Roger Couderc. La cabane est tombée sur le chien est utilisé lorsque le match est définitivement perdu et qu'il n'y a plus d'espoir...pour le France- Ecosse à venir le 8 Mars, espérons que nous pourrons utiliser à bon escient une autre expression fameuse de Bala les mouches ont changé d'âne !
la cabane est tombée sur le chien